Les échanges humains : le contact avec les femmes et les hommes que je rencontre au cabinet doit toujours se faire en confiance et avec une communication honnête et transparente. C’est indispensable pour que le résultat soit fidèle aux attentes du patient et cohérent avec les possibilités qu’offrent la médecine. Et encore une fois, le plus naturel possible.
Évidemment la dimension esthétique voire parfois artistique de cette médecine me plaît beaucoup. J’ai envie de m’adapter à chaque problématique pour que le patient se sente le mieux possible dans son corps et dans sa tête.

La médecine esthétique et ses techniques évoluent continuellement, je participe donc très régulièrement à des formations, à des workshops et à des congrès. Ces évolutions me passionnent et je m’efforce constamment de connaître toutes les nouvelles techniques et de m’approprier celles qui me paraissent les plus efficaces et les mieux adaptées à chaque patient.

Ma patientèle est très variée ! Essentiellement des femmes, mais aussi de plus en plus d’hommes. La médecine esthétique est ouverte à tous : le bien-être est une problématique qui concerne chacune et chacun.

Ma patientèle est très hétérogène. De jeunes adultes peuvent venir me voir dès 18 ans pour des problèmes de cernes par exemple, comme les plus de 80 ans pour préserver un visage dynamique et rayonnant. Il n’y a pas d’âge pour être bien dans sa peau. D’ailleurs, il n’y a jamais un même traitement : encore une fois je prône une approche la plus personnalisée possible.

Évidemment, si on commence plus tôt par de petits traitements, sur le long terme le besoin d’interventions diminuera. Mais pour moi le bon âge pour commencer c’est le moment où le patient en ressent le besoin, pour regagner confiance en soi et gagner en bien-être. Les maux et problèmes qui relèvent de la médecine esthétique ne doivent pas être sous-estimés ou perçus comme quelque chose de superficiel. Ils peuvent être au cœur d’une vraie problématique chez le patient, et parfois avec un simple petit traitement on peut vraiment booster le bien-être, favoriser la bonne mine de façon très naturelle et permettre aux patients de vivre mieux tout simplement.

Le botox est utilisé depuis des années en ophtalmologie, en neurologie et en dermatologie, ce qui donne le recul nécessaire pour affirmer qu’il est sans danger.

Grâce à un dosage approprié, seul le muscle contracté sous la ride d’expression est concerné par le relâchement. Les autres parties du visage ne sont pas affectées.

Il s’agit d’un traitement de prévention du vieillissement, on peut commencer avant que les rides ne soient trop profondes.

C’est parfois possible en fonction des zones.

Non. C’est déconseillé car les peelings doivent être réalisés sur des peaux non bronzées et non exposées au soleil.

L’acide hyaluronique est destiné à combler les rides, alors que le botox va permettre un relâchement des muscles mais n’a pas d’action de comblement.

Le Mésolift contient de l’acide hyaluronique, mais ne donne pas de volume.

Les effets obtenus avec chaque produit dépendent du dosage utilisé, qui est choisi en fonction des problématiques et des besoins de chaque patient. Un résultat naturel s’obtient grâce à un dosage juste de produit, quel qu’il soit.

Le traitement le plus naturel est l’injection d’acide hyaluronique, avec un dosage adapté.

En fonction de la puissance du peeling utilisé, la desquamation (peau qui pèle) peut être plus ou moins importante.

Oui, les effets d’un peeling sont durables mais le peeling ne change pas la nature de la peau. En fonction des habitudes de vie et du type de peau, de nouvelles imperfections, tâches cutanées ou rides peuvent apparaître.

Il n’y a aucune différence, ce sont simplement deux termes qui désignent la même intervention. À l’heure actuelle, je pratique des micro-greffes capillaires à l’aide d’implanteurs choï.

Non, les micro-greffes capillaires sont réalisées sous anesthésie locale et l’intervention n’est donc pas douloureuse.

Ce n’est pas toujours nécessaire mais c’est préférable. Par contre, il est toujours nécessaire de raser la zone à prélever.

Oui, car la micro-greffe ne modifie pas la nature du cheveu. Il s’agit simplement d’un transfert du cheveu et les cheveux non-greffés peuvent continuer de tomber en fonction de leur nature.

Il n’y a pas de stade spécifique d’alopécie pour procéder à une micro-greffe capillaire. Tout dépend de l’indication.

La micro-greffe est une technique durable, cependant l’évolution de l’alopécie n’est pas stoppée par l’intervention. Il est donc toujours possible de procéder à une nouvelle intervention pour re-densifier une zone déjà greffée ou pour greffer une nouvelle zone en fonction de l’évolution de la perte de cheveux.

Non, je ne pratique pas cette intervention car elle est aujourd’hui interdite en France.

Le laser permet d’obtenir une destruction des poils touchés, mais il reste toujours un duvet et des poils plus fins. Dans les zones où la pilosité est fortement hormono-dépendante, le duvet peut continuer à se transformer en poils terminaux et à reconstituer une pilosité (également possible lors d’une grossesse, à la ménopause…).

L’émission laser est bien connue et n’entraîne aucun risque cancérigène. Bien adapté à la peau, il n’y a pas de risque de brûlure. Seuls les yeux doivent être protégés avec des lunettes adaptées.

Oui et non. La sensation est variable selon les patients et la zone traitée. Les sensations sont cependant très brèves et le système de refroidissement les atténue bien.

Non, la cryolipolyse n’est pas un traitement douloureux.

Les effets de la cryolipolyse sont durables sur les cellules traitées. Les cellules éliminées lors du traitement sont définitivement mortes. Cependant, les cellules adipeuses restantes peuvent toujours grossir.

Le Coolsculpting est une marque de cryolipolyse, au même titre que la cryolipolyse Cristal, qui est la marque avec laquelle j’ai choisi de travailler.

Il n’y a pas de stade précis requis pour avoir recours à des injections de toxine botulique pour traiter l’hypersudation. C’est une intervention qui peut se pratiquer pour de simples questions d’esthétisme et de confort.

Comme tout traitement, le traitement de l’hypersudation par injections de botox peut être pratiqué à partir de 18 ans.